Chez les blancs, course entre amis et bonne enfant.
ça va vite aux attributs et on baisse le rythme aux ficelles, sauf quand c’est ouvert. Mais, nous commençons a en avoir l’habitude. Mais, le travail à quand même été la, même si le rythme n’était pas celui des grands jours...

Eros de Ricard, ouvre les débats et à son age ( n°114) on connait la musique.
Il se met à l’allure des blancs mais son gros coup de tête pose des soucis aux droitiers, poussera timidement ses actions à gauche.
Aux ficelles, il se reprend un peu et il fera ce qu’on lui demandera de faire.

Sergent de Plo ( n°611) lui emboîte le pas.
Mieux à droite où il sait anticiper, jouer des cornes et pousser ses actions, à gauche, il sélectionne beaucoup trop.
Améliorant son placement aux ficelles, c’est à droite que l’on se regale le plus.

Avant la pause sort Auzias de Guillerme ( n°173), un biou dont la bravoure, la vaillance ne connaissent aucune limite.
Même langue dehors, les maître-mots de ce biou sont vaillance, bravoure et brillance.
Rentre sous Carmen.

Cerf de St Pierre (n°629) sort apres une courte pause, et d’entrée, montre qu’il en veut.
Pris au vire-vire, il ne lâche rien et joue des cornes à l’encontre et il pousse fortement ses actions.
Mais aux ficelles, où le biou aurait mérité un travail plus assidu, les hommes ont levé le pied.
Le biou, bien placé, prendra les rasets au compte-gouttes.

Rouffian de Lagarde ( n°707) sera brave à l’encontre et poussera toute ses actions aux bois, avec le disque.
Aux ficelles, il se montre mieux placé et prendra tout les cites des blancs et demandant qu’à se chauffer pour montrer son coté barricadier.

Farfadet de la Galère ( n°538) se révélera brave et vaillant et surtout brillant à la planche où toutes ses actions se terminent avec le disque.
Aux ficelles, il prend tout et ne lâche rien, finissant un poil moins ses actions sauf quand on le cite bien.

Cilaos de Gillet (n°866) en hors point, montrera de bonnes qualités et de bons principes.