Vers 13h30 le cortège se reforme, mais cette fois précédé par Messieurs :

  • Joly, député du Gard ;
  • Paut, Maire de Nîmes ;
  • Beauquier, adjoint et par
  • les représentants du Conseil Général et
  • les représentants du Conseil Municipal.

Immédiatement après eux, vient le bureau de la Fédération des Sociétés Taurines, composé de Messieurs Passemard, président, et Guillemin, rédacteur en chef du journal Fédéral l’« Aficion ».
Suivi par le groupe des anciens présidents fédéraux :

  • Bonnefoi d’Alès ;
  • Cluzel de Montpellier ;
  • Milhe d’Arles ;
  • Audry de Nîmes ;
  • Treyvous, ancien secrétaire général ;
    les gardians et les sociétés se groupent dans le même ordre que le matin.

Le cortège exécute à nouveau le tour de la ville, et se rend à la préfecture, où messieurs de Baroncelli-Javon, Grand, Audry, Passemard et De Montaut-Manse sont reçus par le secrétaire général, à qui ils remettent sous forme d’adresse, destinée au gouvernement, le texte de l’affiche dont nous avons donné plus haut la reproduction.

Monsieur de Montaut-Manse remonte sur son Camargue et remercie la Ville de Nîmes de l’accueil chaleureux et sympathique qu’elle a réservé à la Nacioun Gardiano, et félicite les manifestants pour l’ordre parfait qu’ils n’ont cessé d’observer au cours de cette journée d’aficion militante.