Du côté des raseteurs c’est Manolo Falomir qui lui doit peut être sa belle carrière d’as du crochet.
Ça se passait à Fontvieille en 1950.
Le jeune Falomir alors encore pratiquement inconnu affronta résolument, le terrible Vovo, déjà alors excessivement craint, dans l’émotion générale.