Un article de 1928 soumis à votre réflexion, suite...
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"Il y a trois ans je revenais d’une ferrade chez Mme Viret, je m’arrêtais chez Laplanche, l’ancien raseteur, afin de boire un coup et causer un peu taureaux avec lui.
Après avoir parlé taureaux et raseteurs actuels, Laplanche me dit :
" Si de mon temps, il y avait eu aux cocardes l’argent qu’il y a aujourd’hui, ce n’est pas ce petit bistrot que j’aurais acheté, je serais propriétaire d’un des plus grands établissements de la région"