Le premier, l’entier VICTOR de Chauvet (5.12) .n’a jamais trouvé le rythme, si bien qu’après 7 minutes, il était de retour au toril...
Sans rien de notable.

Avec VERCORS de Richebois ,(7.45) c’est d’un autre acabit.
Rapide et concerné, il défend ses glands durant dix minutes, en faisant preuve d’autorité. Et comme il dispose d’un placement sûr, sa défense est plus facile.
Elle lui permet de rentrer, lui aussi, une ficelle.

Du haut de ses quinze ans, BRACONNIER de Coulet, (9.05) assume en faisant ce qu’on lui demande.
La cocarde et les glands partis au tout début, aux ficelles il n’est pas bousculé et quand on appuie, il va au bout, sans finition dommage.
Et lui aussi, il en rentre une avec la récompense.

Le quatrième, TAMARIS d’Agu, (8.41) est très mobile, empêchant un travail construit.
Bien entendu, si on lui court devant et qu’on l’attend un peu, il est apte à se dresser comme après Gaillardet plusieurs fois. Ayant retrouvé de la tenue, il améliore son activité, sautant même derrière Gaillardet et anticipant Ibarra en force.
Au bout du compte, il repart avec ses deux cordons( 9 Carmen ).

Pas plus d’une minute pour FRIGOLET de Cavallini (25.6) avant d’arriver aux ficelles..
A partir de là, il montre de belles dispositions en répondant du tac-au-tac. La première est pour le bosseur David Maurel et l’autre, travaillée lui donne l’occasion de sauter derrière Pradier.
Elle part à la 13 eme dans le crochet de Ferriol.

Quant au dernier, SAUVAGE de Lautier, (55.7) il se livre avec beaucoup de volonté , sans toutefois le brin de punch de son début de saison.
C’est certain, il ne se retient pas et il remplit son contrat.
Une ficelle à 300 euros et il la rentre.