Apache de Caillan n°915 : cherchant sa place aux attributs, il alterne de belles séries mais aussi quelques petits refus.
Mais, aux ficelles, le biou se place mieux aux bois et atteint l’adversaire qui ne vient qu’au compte goutte. Sautant en contre-piste au moindre raset, le manque de travail des blancs a nui à sa fin de course.

Querebus de l’Occitane n°704 : dommage que le biou manque de tenue de piste.
Trop décalé des planches, souvent centriste, il se montre vaillant aux séries mais il n’a pas son coté percutant que d’habitude.
Cependant, pris dans le vire-vire pour le second gland qui tarde à venir, le biou se chauffe et le biou récolte le disque pour de belles conclusions au bois.

Cora de Ribaud n° 911 : brillant et vaillant, son léger coup de tete à l’encontre pose problème mais sa franchise nous font passer rapidement aux ficelles.
A celles-ci, le biou change de comportement. Cul à la planche, il attend les blancs qui réfléchissent pour l’affronter dans son terrain.
Entrepris rarement, il rentre sous le disque.

Zingaro de Lautier n°761 : tenue de piste sérieuse, cul à la planche, il sort fort à droite mais lâche le raset sur les gauchers.
Puis au fur et à mesure de sa course, le biou se durcit sur les droitiers et se met à anticiper et à finir fort à gauche, où Gaillardet lui distille de beaux rasets.
Mais, le biou manquera de travail pour se révéler sous un meilleur jour. Rentre son second gland.

Amphitrium de Chapelle n°632 : le vainqueur du jour sort avec l’envie et le moral d’en découdre.
Dommage que ses adversaires n’est pas eu la même motivation. Cul à la planche, le biou se dédouble après l’encontre pour finir fort aux bois, les cornes menaçantes, où l’air de Bizet retentit.
Tenant les blancs à distance par son placement et ses anticipations, il rentre son second gland avec les honneurs.

Cassius de Laurent n°633 : le marathonien du jour qui a été sans cesse en mouvement, sautant seul.
Il se sera gaspillé et fatigué seul. Les blancs n’ayant pas réussi à l’entreprendre sauf à la fin du temps où le biou s’est prêté au jeu et à montré son coté barricadier.

Gitan de Navarro (hp) n°715 : cet étalon a fait preuve de vaillance et de bravoure.
Sans être spectaculaire, le biou à été le seul à se faire lever une ficelle par les hommes qui ont compris la gentillesse du biou, qui n’a rien refusé et s’est prêté au jeu.
Il termine sur une note agréable cette course.