Matute de St Antoine : en tout premier qui se respecte, on voit de bonnes choses et de mauvaises choses. Placé, il sélectionne beaucoup trop les rasets. Il faut vraiment le rentrer pour qu’il sorte de son terrain. Quand il le fait, notamment sur Auzolle, le disque retentit car le biòu n’y va pas avec le dos de la cuillère.

Fanfan de Caillan : lui, il aura manqué de pression pour voir une course différente. Placé, il suit sur tout les cites des blancs, et finit fort jusqu’au bois. Mais, il nous manquera la petite étincelle pour que sa course monte d’un cran. Dommage car le biòu avait de l’envie.

Oscar de la galère : vainqueur du jour et c’est mérité. D’entrée, il frappe sur les tourneurs. Placé, c’est d’une bravoure à la tête mais à la planche, le biòu conclut fortement, fracasse les bois sur un raset tout avec classe de Sabri Allouani, avec les honneurs. Vaillance et bravoure lui feront entendre le disque.

Yvan du Pantai : pas dans un grand jour. Au débout, il prend tout sans se placer. Se reprend aux ficelles, et là on retrouve le grand Yvan. Mais, les hommes ont baissé le rythme et la pression n’étant pas là, le biòu ne peut pas nous montrer ses qualités. Les rares séries qu’il prend, ça va vite et le disque retentit.

Aristide de Lautier : lui aura souffert du manque de travail des blancs. Tenue de piste brouillonne, il court beaucoup et perd vite ses attributs. Puis, il reprend son sérieux aux ficelles avec son placement aux planches, sa vitesse au vire-vire, mais cela trop rarement car les hommes n’y sont plus.

Merou des Montilles : n’était pas dans un bon jour. Barricadier habituel, il en n’est rien aujourd’hui. Trop brave, il suit l’homme jusqu’à l’encontre pour lâcher de suite après. Les hommes s’en amusent et, finissant par une grosse action sur Four, il réintègre vite le toril.

Dans la facilité, les blancs sont présents…


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