Dorénavant, les courses de taureaux vont se dérouler dans la légalité.

Elles sont néanmoins soumises à l’autorisation préfectorale, pratiquement toujours accordées.

Nous ne trouvons dans les archives [1] que ] quelques cas de refus lorsque les conditions de sécurité sont vraiment insuffisantes, ou lorsqu’il y a un grave problème de concurrence entre deux entrepreneurs, ou encore, pour d’autres motifs qui paraissaient relativement fondés.

Le processus est le suivant :
— le maire envoie une lettre au préfet, lui annonçant la date de la course, il y joint fréquemment un projet d’arrêté municipal, soumis à l’approbation préfectorale

— en retour de courrier, le préfet accorde ou non l’autorisation.

[1Archives départementales du Gard